François Rebsamen, le ministre du travail, a demandé au Pôle Emploi, mardi 2 septembre, de
«renforcer les contrôles» pour vérifier que les chômeurs « cherchent bien un emploi»
A écouter @frebsamen, je me demande s'il connaît la vie d' 1 chomeur/euse. Le pb c est le chômage, pas les chômeurs.
— Emmanuelle Cosse (@emmacosse) September 2, 2014
Plusieurs organisations de chômeurs longue et courte durée se sont réunies ce matin à Paris. Au cours de cette réunion, il a été demandé au gouvernement de mettre en place une série de mesures pour vérifier que le ministère du Travail remplissait correctement sa fonction première.
« Il y a des dysfonctionnements, il faut le dire, ce n’est pas un tabou » a expliqué Michel Grelain, responsable local d’une association de chômeurs de longue durée. Celui-ci refuse catégoriquement de parler d’une chasse au ministre qui ne dit pas son nom. « Soyons adultes, un peu. Il faut regarder les choses en face » a-t-il martelé face à la presse. « Nous ne voulons en aucun cas stigmatiser un ministère plus qu’un autre » a-t-il précisé. Une volonté affichée des collectifs de lutter contre certaines dérives ministérielles mais que certains voient comme un écran de fumée pour masquer d’autres réalités du moment.
Là aussi, le collectif campe sur ses positions. « Comme partout il y a des abus. Il y a des conseillers ministériels qui arrivent à 11h30 au lieu de 11h. D’autres abusent de la machine à café. Mais il ne faut pas que ces cas isolés viennent handicaper l’ensemble » précise Mariette Chanlou. Mais l’annonce des mesures a provoqué un tollé de la part des associations des assistants ministériels et du ministre lui-même qui regrette « un dramatique changement de cap idéologique ». Le ministre lui-même a demandé « un peu de retenue et de respect et de compréhension» auprès de personnes qui sont au ministère du Travail non par choix mais victimes de la crise économique.
Ceux qui entendentla
politique commeun acte de dévouementdésacraliséet non pas commeun acte de racket, ont l’habitude de se
laisserguiderparune devise, pleine de sarcasme,selon laquelle le principalavantage d'êtreélu présidentouministre
est d’êtretraité le reste de leur viecomme ex-présidentou
ex-ministre.
D’ailleurs, dans de
nombreux cas, la courtoisiebon
enfantveut aborderces anciens
avec le titre de la position occupée antérieurement, comme si elle étaità vie.
Lorsque les citoyensse
rendent aux urnesavecl'esprit vengeur,
il arrive souventque de nombreux politiciens soient
obligés de rentrer chez eux. Etl'absence
de pouvoir, avec l'obsession conspiratrice
qui l'accompagne,produit chez certainsun videà l'estomac, une sensation de brûlure, qu’aucun Maalox ou bicarbonate
de sodium pourraientatténuer.
Ceux qui n’ont jamaisimaginéde tomber de si
haut, devraient être drôlement contents. Le
problème se présente pour ceux qui croyaient être
parvenus à atteindre le limbeinstitutionneléternel,
ceux dont les dents de lait sont tombées au cours de leur vie partisane
et qui ne savent rien faire d’autre hors de la politique.
Pour eux, le
déménagement risque d’êtrecruelà
moins de se réengagerdansla masse salarialepublique.
Seuls la thanatopraxie ou le maquillage funéraire sonten mesure de leur restituerun semblant de couleurqui leur
rappelle la vieà l'air libre.
Ça doit être dur que le mobile s’arrête
de vibrer comme un fou, que plus personne ne rit vos grâces, que la ruseprésumée d’antan soit aujourd’hui
considérée comme un simplenon-sens.
C’est peut-êtrepour cette raison,
et pour atténuer desconséquences
indésirables, qu’il vaut mieux laisser les choses telles quelles. Malgréplusd'une
centaine dedéputésdébutants, les constantes vitalesde la
politiquerestent les mêmes dans
le nouveauParlement européen : six
parlementaires sur dix n’ont jamais travaillé dans le secteur privé, huit sur
dix proviennent d’autres fonctions publiques et un sur
quatreest un fonctionnaire de
carrière.
Et c’est ainsi que le jeune Mickey Barroso
(58 ans) laissera sa place de président du Conseil au débutant Jean-Claude
Juncker qui fêtera bientôt ses 60 ans… et que le jeune Le Pen renouvelle son
mandat à 86 ans.
L’euphémismepeut être défini comme«l’utilisation d’une expression
adoucie pour évoquer quelque chose de désagréable, triste et dur ». D’autres
y verront une formule délicate pour exprimer des idéesou des motsafin de les déguiserparce qu’inappropriés
outrop francs.
Cependant, il y ades litotesqui affectent trompeusement
les genset qui se répètent sans cessetous les jours. Ainsi va-t-il
lorsqu’on parle deguerre humanitairepour dire en fait guerre économique ou géostratégique; dommagescollatéraux,au lieu de mort de
civilsou pillage de richesses;zone d'exclusion
aérienneplutôt quepilonnage des positions del'ennemi pour
favoriserl'avancedes alliés;tribunaux pénaux
internationauxde
préférence àprocès des dirigeantsdes petits pays,généralementAfricains;
marchés pourcapitalisme financierspéculatif;mondialisation au
lieu de libre soutirage
planétaire descapitaux;sauvetagedepays dans le pétrin
plutôt que sauvetagede leursbanques
nationaleset des banques créancières;agences de notationde risque au
lieu de pyromanes financiers et spéculatifs. Tout comme désigner le News Corp de Rupert
Murdoch comme « groupe de presse » (pourrie) plutôt que bande de
pirates cancérigènes. Remarquez, c’est bien, ce qui leur arrive. La planète
en sera soulagée… des millions d'exemplaires chaque jour (qui ne peuvent même
pas servir de papier c...) et qui ne seront plus édités, vont donc alléger le
bilan carbone et soulager les forêts. Appelons un chat un chat.
Appelons les choses par
leur nom De nos
jours, le politiquement correct outrancier impose des circonvolutions
langagières parfois difficiles à comprendre. On a de plus en plus de mal à
appeler un chat un chat.
Et, dans le cas de cette dernière expression, ce serait pourtant nécessaire, voire indispensable, car, bien qu'on
l'ait maintenant oublié, cette expression a son origine en-dessous de la
ceinture, ce qui est profondément choquant, n'est-ce pas ?
Si on appelaitles chosespar leur nom, nous pourrions probablement
mieux comprendrece qui se passeautour de nous.
Hans, le jeune homme à l’origine de cette vidéo, est actuellement poursuivi en justice pour « mise en danger de la vie d’autrui » suite à la diffusion de ces images capturées avec un drone. En effet, la législation française qui réglemente l’utilisation d’aéronefs pilotés à distance est très draconienne à ce sujet… il parait qu’il est nécessaire de déposer un plan de vol et passer un brevet de pilote d’Airbus pour vendre des images aériennes.
D'un coup, les bons clichés de nos petits bonheurs «à la française» viennent de s'envoler. En voici quelques exemples...
Un arrêté préfectoral bouillotte sur le poêle qui devrait interdire dès 2015 en Ile de France l'ancestral feu de cheminée qui a traversé les siècles, les régimes et même les révolutions. Pour notre bien, pour notre bien, braves gens!
C'est également en pleine conscience citoyenne qu'afin de respecter les besoins physiologiques des footballeurs, les communes vont devoir modifier la superficie des vestiaires, au prix de coûteux travaux, dès qu'un club changera de division; ou que désormais l'immatriculation des Mercedes de classes A, B et C est interdite en raison de la nocivité de leurs gaz de refroidissement qui causent de graves dommages aux poumons de nationalité française mais, pour des raisons encore inexpliquées, à aucun système respiratoire d'origine étrangère.
Nous sommes fiers et heureux de vivre dans une société solidaire et humaniste qui prend soin de notre santé en nous obligeant à mourir d'autre chose que du tabac, à bouffer cinq fruits et légumes par jour version bio, à devenir centenaires.
Réjouissons-nous également que nos pouvoirs publics se soient enfin émus du danger que fait courir aux adeptes des arts martiaux le capitonnage insuffisant sur les murs des salles où ils pratiquent leur sport. Les Français ayant pris un certain nombre de centimètres au fil des ans, il devenait urgent d'imposer les mesures appropriées. Le coût du relèvement du capitonnage pour les collectivités est évalué à la somme, fort modeste, de 5 millions d'euros, soit le coût d'un rond-point et demi.
Autre mesure qui s'imposait pour la santé de nos enfants: dans les cantines scolaires, le poids obligatoire de la saucisse est de 50 grammes et pour les œufs durs, la portion est d'un quart d'œuf pour les enfants de plus de 18 mois en crèche, un demi-œuf pour la maternelle, un œuf entier pour les classes élémentaires et de 1 à 1,5 œufs au collège. Les plateaux-repas et petits fours non consommés qui jusqu'ici étaient redistribués à des associations charitables devront être soit jetés, soit arrosés de détergent afin de les rendre impropres à la consommation.
Applaudissons enfin les recommandations qui nous sont faites de consommer du vin sans alcool, l'interdiction imposée aux coqs de chanter avant le lever du soleil dans des communes phares telles qu'Oléron Sainte-Marie et Lalleu en Ille-et-ViIlaine; ou le projet déjà bien avancé de bannir sur tout le territoire la pratique du barbecue dominical, qui représente un véritable danger pour notre vivre-ensemble.
Au dernier pointage, le Journal Officiel recensait 400.000 normes diverses sur lesquelles pèse une grave menace. En effet, à la demande du président Hollande, le gouvernement s'interrogerait sur la nécessité d'en réduire le nombre. Une aberration totale à laquelle, heureusement, nous devrions échapper, connaissant la sagesse des princes qui nous gouvernent.
Nous sommes fiers et heureux de vivre dans une société solidaire et humaniste qui prend soin de notre santé en nous obligeant à mourir d'autre chose que du tabac, à bouffer cinq fruits et légumes par jour version bio, à siffler notre coup de tutu «avec modération», à devenir centenaire, à ne plus fonder de famille mais à «faire famille», et à permettre à nos enfants de ne plus se sentir discriminés à l'école où les notes «encourageantes» devront remplacer les notes «vraies», c'est à dire les 2/20 et les zéros pointés infligés aux cancres .
Par exemple pourquoi ne pas faire comme dans cette ville du Colorado où il est interdit d'embrasser les femmes qui dorment; en Floride, de chanter en maillot de bain; dans le Nevada, d'obliger les épouses à demander à leur mari l'autorisation de porter un râtelier; en Alaska, de punir ceux qui donneraient à boire de l'alcool à des souris; à Chicago, de pêcher à la ligne en pyjama; à Eureka, dans le Nevada, de coller une forte amende à tout moustachu qui embrasserait une dame sur la bouche; ou bien encore à Portland, de trainer devant les tribunaux les hommes qui chatouillent leur femme avec un plumeau.
Je signale aux chercheurs que des exemples comme ceux-là, j'en ai des dizaines qui ont cours dans le monde entier. Savez-vous, par exemple, qu'en Grande Bretagne, les femmes n'ont pas le droit de manger du chocolat dans les transports publics?
Après le devoir de mémoire, il ne nous reste plus qu'à être promus au bonheur à perpétuité. Certains disent, sous le manteau, que dans l'Histoire, tous ceux qui ont promis le bonheur sont ceux qui ont le plus massacré leurs semblables. Sûrement des ragots.
Rien n'arrêtant le progrès, le genre humain appartient aujourd'hui à une espèce protégée, tout comme le moustique de Camargue ou le requin-marteau. Dans sa sagesse, le législateur a toutefois prévu des exceptions. Il est par exemple permis aux hommes de se massacrer entre eux quand ça leur chante.
Moi, cette vidéo je la trouve magnifique, elle nous montre à quel point le patrimoine français est beau. L’utilisation d’un drone pour sa réalisation nous rappelle aussi que ces petits engins volants sont capables de nous offrir des perspectives magnifiques et inédites du monde qui nous entoure!
Ce garçon nancéien a des talents de cinéaste. Je trouve cocasse (et frustrant) que la justice le poursuive. La mairie de Nancy devrait plutôt le remercier pour ces images inédites qui mettent en valeur la ville. Le plus drôle, dans cette histoire, c'est que d'après sa page facebook, le jeune homme est en fac de droit!
De mon côté en tout cas, j’ai adoré découvrir Nancy de cette façon ^_^. Pas vous ?
Le héros et général Vietnamien Vo Nguyen Giap vient de décéder avec 102 chandelles dans son avoir, probablement en se tordant de rire. Une semaine avant son trépas, le Comité Nobel norvégien décernait le Prix Nobel de la paix à une organisation qui se fait appeler l'Organisation pour l’interdiction des armes chimiques. Une entité basée à La Haye et dont l’humanité semble avoir appris l’existence le jour où l’ONU lui a confié la tâche de superviser la destruction de l'arsenal chimique du gouvernement syrien. En fait, l'OIAC a été créée en 1997, une fois que les Etats-Unis et la Russie signaient l’énième et dernière traité pour éliminer les armes chimiques. La première convention avait été signée un siècle auparavant, même si le gazage de militaires et civils a continué de plus belle tout ce temps.
La Turquie en 1915, l’Allemagne pendant la grande guerre et l’Espagne pendant la guerre de décolonisation du Rif Marocain avaient été les pionnières dans l’utilisation massive de l’ypérite pour ‘étouffer des indigènes’ comme on disait à l’époque. Depuis, il est émouvant de constater la sensibilité de nos gouvernements pour nous éviter d’inhaler un élixir de la mort quelconque – que ce soit du sarin, de l’anthrax ou tout autre concoction que même un pygmée en grève de la faim n’oserait engloutir à l’article de la mort.
De la même manière, il est louable de constater l'effort pondu par les grandes puissances pour tuer les méchants. Le général Giap, par exemple, avait battu successivement entre 1954 et 1975 les armées françaises et américaines, après que l'Oncle Sam aie dévoré des centaines de milliers d'hectares de végétation avec des gaz orange et mis en cendres les vietnamiens grâce aux effets du feu purificateur du napalm.
Aujourd’hui les héros de la guerre technologique ont recours aux bombes à fragmentation, aux munitions à l'uranium appauvri (imaginez s’il était enrichi) et d'autres armes de destruction catégorique capables de vous triturer avec une grande dignité et sans l’utilisation d’un primitif agent nerveux. Quelle sophistication.
L'euroscepticisme : plus qu’un
phénomène britannique.
1. Ne faites pas semblant d'être sceptique au sens strict du terme.
Vous détestez l'UE, vous êtes donc un sceptique. Ne remettez pas en cause cette
logique. Le mot « sceptique » sonne bien parce que cela montre que
vous pouvez réfléchir.
2. Ne perdez pas votre temps à vérifier les faits, ils ruinent souvent
l'argumentaire. Personne ne se pose des questions de suivi ou du bien fondé. Le «l'UE c’est ennuyeux » est un argument de poids connu de tous, mettez le à profit car il n'est pas besoin de savoir grand chose
sur l'UE.
3. Demandez un référendum sur l'UE à chaque fois que cela est possible –parce que
vous savez que sa mise en place va embarrasser tout le monde. D’ailleurs, si
vous êtes un politicien vous savez que cela va facilement se traduire par une
couverture de presse. Vous n'avez pas vraiment besoin de savoir pourquoi vous
voulez un référendum (en gros vous le voulez parce que vous savez que c'est la
seule possibilité de vous faire entendre en pleine canicule estivale quand les
journaleux manquent de gros titres). Il suffit d’en demander un, après tout,
c'est démocratique.
3. Écoutez les déclarations de Jean-Luc Mélenchon, de Marine Le Pen, de Nicolas
Dupont-Aignan, de Jean-Pierre Chevènement ou encore des personnalités comme
Charles Pasqua. Sans oublier les moujiks de la FNSEA. Ils ont tous une excellente connaissance
des affaires européennes –tout ce que vous voulez et devez savoir se trouve dans les
petites phrases et dans les grandes déclarations de ces augustes personnages.
Si vous êtes un eurosceptique « hard » et inconditionnel vous pouvez
également trouver des articles agréables dans le Daily Mail, l’Alternative für
Deutschland et d’autres tabloïds de qualité qui vous permettront de réaffirmer cette
approche de la politique pleine de « bon sens ». N'oubliez pas: les médias sont
nos amis.
4. Une phrase utile: « J'aime l'Europe, mais je déteste l'UE »
5. Se plaindre de la « paperasserie ». Ne pas prendre la peine de
vérifier ce genre de «paperasserie» ou pourquoi elle existe réellement.
Toute régulation est mauvaise. Utilisez donc le terme « règlementation » au lieu
de « règle ». Les « réglementations
imposées par Bruxelles » –un argument d'autorité par excellence– sont toujours une mauvaise chose.
6. Il est essentiel que vous méprisiez l’art du compromis. L'art du consensus a contrario fait plus moderne.
7. L'immigration est un problème et c'est là « la vérité, toute la
vérité et rien que la vérité. »
8. Vous pouvez vérifier avec votre parti politique affectionné, ce qui relève
d’un comportement acceptable. Le FN semble avoir une approche libérale –vous
pouvez vous en sortir avec toutes sortes de déclarations parce que Marine est
toujours capable de dire une chose et son contraire. Si vous êtes un
conservateur bon teint ou un membre du Front de gauche vous voudrez peut-être cacher
vos sentiments anti-européens à travers certaines revendications incohérentes
sur la nécessité de tenir un référendum ou encore dire que la France a besoin d’une
autre Europe –sans préciser toutefois pourquoi l'Europe actuelle serait immangeable. Ne
vous inquiétez pas, personne ne vous posera des questions.
9. Si vous n'êtes pas un politicien, vous pouvez toujours devenir un
troll du commentaire eurosceptique. Tous les grands journaux laissent une place
aux commentaires des lecteurs. Utilisez-la! Ne faites pas l'erreur de lire réellement
l'article. Préparez une sélection de phrases eurosceptiques et laissez tomber votre
commentaire en-dessous de l’article. (Soyez créatif : empruntez des clichés sur
la perfide Albion, la guerre de 40, la politique de la chaise vide; n’oubliez
pas de mentionner les juges anti-démocratiques de Strasbourg, la paperasserie de
Bruxelles … les possibilités sont infinies.)
10. Vous pouvez élargir votre spectre politique en devenant anti-changement
climatique, anti-homo, pro-vie, anti-politique, anti-syndical, anti tout.
11. Faites semblant d'être un libertaire libéral. Pour ce faire, vous devez
adapter votre langage (« Bruxelles
est une bonne planque bureaucratique. ») Utilisez ce type d’arguments
aussi souvent que possible Ça sonne bien, n'est-ce pas…
12. Et n’oubliez pas : la crainte est avec vous. La peur des
immigrés, la peur des étrangers, la peur de perdre la souveraineté, la peur de
l'Europe, la peur de la supranationalité à venir sont des arguments très convaincants.
Cela demandera un peu de pratique mais vous y arriverez.
_________________________________________ Aung San Suu Kyi, symbole de la lutte pour la démocratie en Birmanie, a été libérée le 13 novembre 2010 après plus de sept ans en résidence surveillée. Elle est une source d'inspiration pour tous ceux qui oeuvrent en faveur des progrès des droits de l'homme en Birmanie et partout dans le monde. ______________________________________________ Plus d'infos sur http://dassk.org/