Un certain Mélenchon nommé à la tête d'un ministère de l'Information miteuse

Jean-Luc Mélenchon en compagnie de ses copains
lors d’un meeting pour la campagne d’intronisation
du futur Jean Sarko Ier. Ou pas ?

Le dénommé Mélenchon Jean-Luc, jusqu’alors pressenti comme futur candidat à la présidentielle de 2012 de l'alliance des derniers confettis français de partis d'extrême-gauche et de ligues populistes d'orientations indéterminées à gauche, aurait accepté la proposition de Sarko Ier de diriger un nouveau ministère de l'Information miteuse. Le député européen europhobe n'a de toute évidence pas pu refuser une proposition qui lui apparaissait comme particulièrement adaptée à ses compétences. De son côté, notre présidentissime joue à nouveau l'ouverture du Gouvernement pour mieux affaiblir l'opposition en prévision du plébiscite envisagé en 2012.

Les commentaires du Secgén du Parti Jurassique, autrement dit Pierre Laurent, nous ont étonnement éclaircis :

"Il est évident que Nicolas Sarkozy, après l'ouverture à gauche de 2007 qui lui avait permis de porter un coup sévère au PS, a voulu, en nommant Jean-Luc Mélenchon au ministère de l’Information miteuse, se prémunir d'une opposition éventuellement susceptible de le doubler par la droite en 2012"

Aux dernières nouvelles, Michel Drucker et notre bon vieux Freddo la haine feront partie de la joyeuse équipe. Le premier pour s’occuper de la météo et le second de l’intronisation du prince Jean, histoire de préparer son accession au trône en 2087.

JLM est déjà au travail. Soucieux de placer la France dans le peloton de tête des nations qui savent gérer avec raison les flux d'information serait en train de travailler à la réunion d'un grand sommet sur le sujet : les "Assises pour une information raisonnée, contrôlée et miteuse". Plusieurs de ses homologues internationaux auraient déjà confirmé leur participation : Kim Yong-Chun (ministre nord-coréen de la Sécurité Publique), Li Yizhong (ministre chinois de l’Industrie et des Technologies de l'Information), le général Medardo Diaz (ministre cubain de l'Informatique et des Communications) et Mohammad Soleimani (ministre iranien des Communications et des Technologie de l’Information).